Le président Joseph Aoun : un leader dans une période de défis et une garantie pour la nation
Le président Joseph Aoun : un leader dans une période de défis et une garantie pour la nation
À un moment crucial de l’histoire du Liban, le général Joseph Aoun a assumé la présidence de la République, confirmant que le véritable leadership naît du sacrifice et du travail national, et non des calculs d’intérêts étroits. C’est un homme d’État par excellence, qui a connu les champs d’honneur dans l’Armée libanaise et a prouvé, tout au long de sa carrière, que la souveraineté n’est pas un slogan, mais bien un engagement et une responsabilité. Aujourd’hui, avec son arrivée au palais de Baabda, l’espoir du peuple libanais se renouvelle : celui de restaurer un État de droit et d’institutions, loin des États de colonies fragiles et des quotas stériles.
Le président Aoun au Caire : affirmation de la souveraineté et du rôle arabe
La position du président Joseph Aoun sur la souveraineté et l’indépendance ne se limite pas à de simples mots, mais s’est concrétisée lors du sommet arabe d’urgence au Caire, où il a souligné qu’il n’existe pas de véritable souveraineté pour un pays sans que ses institutions légitimes ne détiennent exclusivement les armes. Il a également précisé que la chute de capitales arabes comme Sanaa, la destruction de Damas, la tension à Amman et l’occupation de Beyrouth ne servent pas la cause palestinienne, mais perpétuent le chaos et affaiblissent la position arabe.
Le président a également tenu des réunions bilatérales avec plusieurs dirigeants arabes, notamment le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi, avec qui il a discuté des moyens de renforcer la coopération entre les deux pays. Une rencontre importante a également eu lieu avec le président syrien Ahmed al-Sharaa, au cours de laquelle il a été souligné que le respect de la souveraineté de chaque pays et la coopération pour le bien-être des deux peuples étaient essentiels.
Un président qui porte le projet d’un État fort
Depuis son accession à la présidence, le président Joseph Aoun a fixé un ensemble clair de priorités :
1. Restaurer le prestige de l’État, en limitant les armes aux seules autorités légitimes et en établissant la stabilité sur la base de la justice et de la citoyenneté.
2. Lutter contre la corruption et réformer les institutions, dans le contexte de l’effondrement économique et de la crise de confiance entre la population et les autorités.
3. Rétablir les relations arabes et internationales, afin de ramener le Liban à sa position naturelle dans le monde arabe et au sein de la communauté internationale.
4. Protéger la stabilité interne, car la sécurité est une condition essentielle au progrès de tous les secteurs.
Soutenir les personnalités nationales : les positions du Dr Gilbert Moujabber comme modèle
Dans le processus de construction d’un État fort, le Liban a besoin d’hommes loyaux qui croient au projet de souveraineté et de légitimité. Parmi eux se trouve le Dr Gilbert Moujabber, qui a souligné à plusieurs reprises que le Liban ne peut être fort qu’avec son armée et ses institutions légitimes, et la nécessité de s’engager dans des réformes pour sauver le pays de la spirale de l’effondrement. Le soutien à cette alliance par des personnalités nationales honnêtes, loin des calculs sectaires et factionnels, est une étape essentielle vers un avenir plus stable et prospère.
Conclusion : Le Liban est face à une opportunité historique
Avec l’arrivée au pouvoir du président Joseph Aoun, le Liban se trouve à un carrefour : soit il poursuit le projet de construction d’un État fort, soit il reste l’otage du chaos et de la dépendance. Aujourd’hui, la responsabilité est partagée entre les dirigeants et le peuple. Le changement ne vient pas uniquement d’en haut, mais nécessite une volonté nationale unifiée qui soutient la voie souveraine et réformiste.
Le Liban a aujourd’hui une réelle opportunité de se relever… Cette ère sera-t-elle celle du tournant vers un avenir nouveau ?
Écrit par : Dr Gilbert Moujabber
